la princesse sans abri
hurlant les nuits de vent
qu’elle sera seule à entendre
seule avec les étoiles
les ailes de désespoir
silencieuses
le ciel est son regard
partout
de l’autre résonne
l’absence
elle se cache dans l’enveloppe des mots
affublée de l’indifférente angoisse
sous le souci d’aimer si fort
à croire l’amour de l’empêcher
mais toi la dernière qui la vois
osant les caresses
l’empreinte de ton corps sur le sien
la guérissant de sa peur de demain
tu la laisses tant dire et tout écrire
toutes les traces de ses envies
à ta douceur tu chasses l’élan maudit
celui de fuir les heures que sont la vie
La solitude la peur l’ennui
dans tes bras
la princesse sans fin
oublie la torture du chemin
les mots sont sans faim
les tendres recueils le matin
et les phrases s’enchaînent
S’entremêlent de ce qu’elles aiment
le temps passe à la longueur de toutes ces lettres
elles ne trompent personne
fidèles à elles-mêmes
elles se connaissent à présent si bien
la princesse sans toi
t’aime à l’infini
des arbres qui sont en fleurs
jusqu’au plus beau de tes sourires
celui juste après l’instant d’avant
celui de toujours maintenant
naissant à l’enfermer
éternellement dans mes pensées
…
hurlant les nuits de vent
qu’elle sera seule à entendre
seule avec les étoiles
les ailes de désespoir
silencieuses
le ciel est son regard
partout
de l’autre résonne
l’absence
elle se cache dans l’enveloppe des mots
affublée de l’indifférente angoisse
sous le souci d’aimer si fort
à croire l’amour de l’empêcher
mais toi la dernière qui la vois
osant les caresses
l’empreinte de ton corps sur le sien
la guérissant de sa peur de demain
tu la laisses tant dire et tout écrire
toutes les traces de ses envies
à ta douceur tu chasses l’élan maudit
celui de fuir les heures que sont la vie
La solitude la peur l’ennui
dans tes bras
la princesse sans fin
oublie la torture du chemin
les mots sont sans faim
les tendres recueils le matin
et les phrases s’enchaînent
S’entremêlent de ce qu’elles aiment
le temps passe à la longueur de toutes ces lettres
elles ne trompent personne
fidèles à elles-mêmes
elles se connaissent à présent si bien
la princesse sans toi
t’aime à l’infini
des arbres qui sont en fleurs
jusqu’au plus beau de tes sourires
celui juste après l’instant d’avant
celui de toujours maintenant
naissant à l’enfermer
éternellement dans mes pensées
…
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