Ma sœur mon amour passé
Les fruits mûrs si bien gardés
Sous mes lèvres assoiffées
Les collines et les vallées
Dans un long frisson d’été
Les mains sur l’onde glissées
Les caresses emportées
De tendre curiosité
Les mots de rimes croisées
A l’oreille murmurés
L’heure du soleil couché
Celle des fleurs enlacées
~
Au château inhabité
Les souvenirs sont restés
~
La saveur de tes baisers
Framboises et fraises mêlées
La pluie dans l’herbe allongées
Les sourires esquissés
Du coin de l’œil effleurés
Ton premier regard posé
Sur les marches de l’entrée
L’œil dans lequel je suis née
Sous ta passion désirée
Quand mon cœur s’est retourné
De me découvrir aimée
Ton chemisier déchiré
En traversant les rosiers
Les gouttes de sang perlées
Mouillant ta peau dévoilée
~
Tout ce qui est enfermé
Au secret de mes pensées
~
Rien ne pourra remplacer
Ce qui de nous a été
~
Je ne veux pas oublier
Le bonheur à traverser
Cette étendue d’eau salée
Les noyades aux bras serrés
Et les silences en apnée
De sirènes dessinées
Sur nos deux corps épuisés
Après toutes ces années
Les souvenirs sont restés
Les jours d’être abandonnée
Toute seule à respirer
Les pages du calendrier
Les fruits mûrs si bien gardés
Sous mes lèvres assoiffées
Les collines et les vallées
Dans un long frisson d’été
Les mains sur l’onde glissées
Les caresses emportées
De tendre curiosité
Les mots de rimes croisées
A l’oreille murmurés
L’heure du soleil couché
Celle des fleurs enlacées
~
Au château inhabité
Les souvenirs sont restés
~
La saveur de tes baisers
Framboises et fraises mêlées
La pluie dans l’herbe allongées
Les sourires esquissés
Du coin de l’œil effleurés
Ton premier regard posé
Sur les marches de l’entrée
L’œil dans lequel je suis née
Sous ta passion désirée
Quand mon cœur s’est retourné
De me découvrir aimée
Ton chemisier déchiré
En traversant les rosiers
Les gouttes de sang perlées
Mouillant ta peau dévoilée
~
Tout ce qui est enfermé
Au secret de mes pensées
~
Rien ne pourra remplacer
Ce qui de nous a été
~
Je ne veux pas oublier
Le bonheur à traverser
Cette étendue d’eau salée
Les noyades aux bras serrés
Et les silences en apnée
De sirènes dessinées
Sur nos deux corps épuisés
Après toutes ces années
Les souvenirs sont restés
Les jours d’être abandonnée
Toute seule à respirer
Les pages du calendrier
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