Des reflets mauves et bleutés
Sur les murs aux longues tentures.
Des rousseurs, bulles enchaînées
Sur le sol, comme une peinture.
Je suis la main, dans ma main.
Froissement de tissus envolés
De joueuses enlacées,
De belles aux parfums incertains.
Bougies jaunes et bleuies,
Posées en poésie, décidées
A retenir, tous les cris
De l’air tiédi, écartelées.
Des reflets mauves et bleutés
Sur les murs aux longues tentures.
Des rousseurs, bulles enchaînées
Sur le sol, comme une peinture.
Je suis ton corps, dans mon corps.
Amours éparses et incomprises,
Mes lèvres qui t’adorent
Ne savent pas toi, ma promise.
Bougies jaunes et bleuies,
Posées en poésie, décidées
A retenir, tous les cris
De l’air tiédi, écartelées.
Sur les murs aux longues tentures.
Des rousseurs, bulles enchaînées
Sur le sol, comme une peinture.
Je suis la main, dans ma main.
Froissement de tissus envolés
De joueuses enlacées,
De belles aux parfums incertains.
Bougies jaunes et bleuies,
Posées en poésie, décidées
A retenir, tous les cris
De l’air tiédi, écartelées.
Des reflets mauves et bleutés
Sur les murs aux longues tentures.
Des rousseurs, bulles enchaînées
Sur le sol, comme une peinture.
Je suis ton corps, dans mon corps.
Amours éparses et incomprises,
Mes lèvres qui t’adorent
Ne savent pas toi, ma promise.
Bougies jaunes et bleuies,
Posées en poésie, décidées
A retenir, tous les cris
De l’air tiédi, écartelées.
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