celui qui se lie à l’ellipse du soleil
dans le trouble des nuages
celui qui ne pleure plus que de tendres averses
parce que les orages n’en valent plus leur âge
cet œil qui s’anime à la surface des ciels
et qui me trouble étrange otage…étrangère à le lire
limée de cette tendre rage aux mots d’être poète
l’œil qui me console de mes trésors perdus
depuis mon angle terre toujours vide à refaire
cette course folle aux cils de faire un vœu
et tous les mots qui ne veulent plus rien dire
que la caresse joyeuse d’une larme de bonheur…
*photo phARSme
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