toi si fier dressé dans le matin
face au soleil de huit heures vingt
…je t’écris en ombres chinoises
sur les courbes de ton humeur grivoise
…et si je descendais lentement la pente
jusqu’à cette petite fleur culminante
pour y attacher mes lèvres tendres
et d’un baiser de souffre te surprendre
…descendre encore et encore
mon cher petit dessein d’aurore
poursuivre tous les paysages de ton corps
jusqu’à la source si bien cachée de ton trésor
…là où toutes les rimes enfin disparaissent
quand divine tu te noues à la langue de mes caresses
J'aime quand tu fais tes devoirs...
RépondreSupprimerMais ne manque t'il pas la fin ??? :DDD
RépondreSupprimerIl manque la fin mais pas la faim...bon je retourne à mes devoirs
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