je cherchais son visage
des courbes et des courbes
comme une éternité à désenlacer
je ne savais plus nos derniers mots
était-ce le dernier silence ?
celui qui ne serait plus coupé
les couleurs s’empilaient
mes émotions se superposaient
j’étais un être devenu obsolète
comment était-ce possible ?
un être impossible à s’écrire
j’étais dépassée
remisée aux oubliettes
mais devais-je l’admettre ?
admettre la geôle du passé…
l’espoir était là
au bout de mes doigts
elle ne pouvait pas me l’ôter
ôter
ôter le souffle bleu qui était en moi
ne laisse personne t'oter le bleu
RépondreSupprimerje t'embrasse favouille
Oui.
RépondreSupprimerEt c'est vrai que ton commentaire s'affiche sur les vignettes...mais bon.
Je t'embrasse et bon voyage
oui!
RépondreSupprimerà quoi mène ôter?
au temps donné?
...
C'est vrai, autant garder l'infini...
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