il pleut des lunes de nuit
le regard malhabile
la main courtisée par le désir de fuir
le bonheur s’encre sous ma peau
doucement
d’une prudence indélébile
je veux le garder comme un feu dévorant
grignotant peu à peu la forêt de mes ombres
elle est l’amoureuse de mes sens
le bonheur au pas du silence
les doigts qui décrivent sur mon corps
les messages circulaires de la flamme rouge
qui me ronge et m’envahit
lentement je ferme les yeux
mille étoiles sous le ciel de mon désir
je lève le pouce
RépondreSupprimer"Pouce je passe"...Prévention routière de ma dernière année de primaire...
RépondreSupprimerLes deux pouces alors et les gros orteils pour la gay-tée
Beau... tout simplement!
RépondreSupprimermais plus là?
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