Oups…Voyage Immobile…Je vous ai écrit une drôle de réponse. Enfin…bref : c’est bien plus facile de laisser voyager (divaguer) sa plume, quitte à perdre tout fil conducteur. Je m’embrouille encore plus j’ai l’impression. La rigueur n’exclue pas la poésie. Et dans vos mots, il y avait, il y a toujours quelque chose qui nous touche.
Chère amie la longueur d'un texte ne présume ni de sa beauté et encore moins de sa justesse. Le dépuillement est parfois nécessaire afin de mettre l'essentiel en valeur. bisous.
Tu mets le doigt sur ce qui m'a toujours retenu d'écrire, je suis incapable...par exemple de décrire un paysage durant des pages... Merci pour ton commentaire. C'était les mots qui me manquaient pour dire. des bises Jo
Le dépouillement consiste à aller à l'essentiel, au coeur du sens, de l'essence même des choses ... Le dépouillement est, à mon sens, la capacité à se détacher de "l'objet" pour mieux le contempler ... Ici vous l'avez très justement fait. Mon premier commentaire était donc un compliment!
J'ai été taguée (pour mon plaisir car j'estime l'humour indispensable). Je t'invite à découvrir les questions que je te pose à mon tour sur mon blog. J'espère que tu accepteras de jouer le jeu et qu'on s'amusera du résultat. Gros bisous.
Je viens de lire ce que tu as écrit depuis quelques jours et tout m'intéresse mais je suis tombée en amour, comme disent les canadiens, devant ta poésie. tu as vraiment du talent et tu m'a sonné envie de m'y remettre dès que j'en aurais fini avec Frédéric et Carl. Je t'embrasse ma Princesse.
Texte dépouillé à l'image du triptyque ... un tanka dans le respect de la tradition japonaise ...
RépondreSupprimerLe dépouillement dans ses conditions est un art difficile…et je me rends compte combien j’ai été superficielle en lisant vos mots…
RépondreSupprimeroh Aslé! c'est beau!
RépondreSupprimerJe suis toujours émue quand tu poses des mots sur ces photos.
RépondreSupprimerContente que ça te plaise !
SupprimerSans "ces" photos… il n’y aurait pas eux ces mots.
Oups…Voyage Immobile…Je vous ai écrit une drôle de réponse. Enfin…bref : c’est bien plus facile de laisser voyager (divaguer) sa plume, quitte à perdre tout fil conducteur. Je m’embrouille encore plus j’ai l’impression.
RépondreSupprimerLa rigueur n’exclue pas la poésie. Et dans vos mots, il y avait, il y a toujours quelque chose qui nous touche.
Chère amie la longueur d'un texte ne présume ni de sa beauté et encore moins de sa justesse. Le dépuillement est parfois nécessaire afin de mettre l'essentiel en valeur.
RépondreSupprimerbisous.
Tu mets le doigt sur ce qui m'a toujours retenu d'écrire, je suis incapable...par exemple de décrire un paysage durant des pages...
SupprimerMerci pour ton commentaire. C'était les mots qui me manquaient pour dire.
des bises Jo
Le dépouillement consiste à aller à l'essentiel, au coeur du sens, de l'essence même des choses ... Le dépouillement est, à mon sens, la capacité à se détacher de "l'objet" pour mieux le contempler ... Ici vous l'avez très justement fait.
RépondreSupprimerMon premier commentaire était donc un compliment!
...Merci Valérie d'avoir répondu, de m'avoir éclaircie surtout.
SupprimerJ'ai été taguée (pour mon plaisir car j'estime l'humour indispensable). Je t'invite à découvrir les questions que je te pose à mon tour sur mon blog. J'espère que tu accepteras de jouer le jeu et qu'on s'amusera du résultat.
RépondreSupprimerGros bisous.
Hey ! Ca faisait longtemps. Je me prête au jeu !
SupprimerJe viens de lire ce que tu as écrit depuis quelques jours et tout m'intéresse mais je suis tombée en amour, comme disent les canadiens, devant ta poésie. tu as vraiment du talent et tu m'a sonné envie de m'y remettre dès que j'en aurais fini avec Frédéric et Carl. Je t'embrasse ma Princesse.
RépondreSupprimerJe suis contente que tu m'aies retrouvée. Frédéric et Carl contribuent à ma timidité...
SupprimerJe souris. Je t'embrasse fort ma belle Ariaga.