faire part du printemps
laisser sur la mousse pendant
que nous
nos habits d’hippocampe sans
qu’ils ne se soucient
les laisser s’écrire du visage de notre amour
se découdre sur les lignes nous
devenons la rivière
qui nous unissent une eau simple et belle
les laisser se faire des fils une eau bonne au bonheur
à se tisser entre eux un torrent sur la plaine
une nouvelle manière d’aimer murmurant à la pluie basse
la chance de notre existence
Très réussie, princesse, cette couture amoureuse au bord du fleuve ... Je t'embrasse.
RépondreSupprimer...je souris en points mousse rivière.
SupprimerJe t'embrasse belle Ariaga.
JE SUIS POUR !! Se laisser couler le long du (des) fil(s) de l'eau...reconnaitre, revoir et rêver.
RépondreSupprimerTa plume est magnifique, mille mercis
TANT MIEUX !!!
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerMagnifique nuage!!!
RépondreSupprimerMerci d’être passée par mon nuage… ;)
RépondreSupprimer"Une nouvelle manière d'aimer" comme j'aime aimer, j'aime cette nouvelle manière...
RépondreSupprimerComme une nouvelle matière qui en allie deux autres...
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