Lettre à un cœur
Toi qui bats troglodyte
Dans l’ombre du granit
Je crois que tu t’effrites
Dans cette prison maudite
Lettre à une prison
Toi qui mures l’interdit
Dans la cage des punis
Je crois que tu t’ennuies
Dans cette larve de vie
Lettre à une vie
Toi qui suis sans raison
Tout le temps des solutions
Je crois que tu es dans l’abandon
De l’ordre des passions
Lettre à une passion
Toi qui m’empoisonnes
Dans le fond de ma personne
Je veux que tu me pardonnes
De mon obsession qui déraisonne
Lettre à une raison
Toi qui te dis lassitude
Dans l’étalement de l’habitude
Je veux la réponse prude
De ta réelle attitudeLettre à une attitudeToi qui te dresses fière
Dans le savoir des lumières
Je veux plus que la prière
De ta lettre toute entièreLettre à une lettreToi qui n’en finis pas
De murmurer tout bas
Je veux que tu sois là
Quand la matière est sans étatLettre à un étatToi qui me fuis le jour
Laissant le soupçon du retour
Je me suspends au fil de l’amour
Avec le vide autour
Lettre à un vide
Toi qui te dis timide
Sous mes pas implacides
tu te cribles de rides
A me serrer la bride
Lettre à un cheval
Je n’ai plus rien à dire
Que la force de l’avenir
Et les vaches peuvent bien mugir
Je prends le train du rire
Lettre à un rire
Car il faut bien finir
Et le clown applaudir
De blanche à rougir
Sa trompette à soupirs
Lettre à un soupir…
Enfin
Toi qui bats troglodyte
Dans l’ombre du granit
Je crois que tu t’effrites
Dans cette prison maudite
Lettre à une prison
Toi qui mures l’interdit
Dans la cage des punis
Je crois que tu t’ennuies
Dans cette larve de vie
Lettre à une vie
Toi qui suis sans raison
Tout le temps des solutions
Je crois que tu es dans l’abandon
De l’ordre des passions
Lettre à une passion
Toi qui m’empoisonnes
Dans le fond de ma personne
Je veux que tu me pardonnes
De mon obsession qui déraisonne
Lettre à une raison
Toi qui te dis lassitude
Dans l’étalement de l’habitude
Je veux la réponse prude
De ta réelle attitudeLettre à une attitudeToi qui te dresses fière
Dans le savoir des lumières
Je veux plus que la prière
De ta lettre toute entièreLettre à une lettreToi qui n’en finis pas
De murmurer tout bas
Je veux que tu sois là
Quand la matière est sans étatLettre à un étatToi qui me fuis le jour
Laissant le soupçon du retour
Je me suspends au fil de l’amour
Avec le vide autour
Lettre à un vide
Toi qui te dis timide
Sous mes pas implacides
tu te cribles de rides
A me serrer la bride
Lettre à un cheval
Je n’ai plus rien à dire
Que la force de l’avenir
Et les vaches peuvent bien mugir
Je prends le train du rire
Lettre à un rire
Car il faut bien finir
Et le clown applaudir
De blanche à rougir
Sa trompette à soupirs
Lettre à un soupir…
Enfin
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