l’œil de l’igloo
qui partage tout
le calme et les remousl’œil de tes yeux
qui vit de nous deux
heureux ou malheureuxl’œil de l’amour
qui crie au secours
les tempêtes d’un jourl’œil du clone
qui nous étonne
de notre personnel’œil de mon œil
qui ne craint l’écueil
de quelque mise en deuill’œil aux abois
qui court hors la loi
la nuit dans les sous-boisl’œil de la vie
qui pleure et qui rit
les cils en nostalgiel’œil du présent
qui marche élégant
sur les rails du néantl’œil de l’horreur
qui ceint la douleur
d’un peuple qui se meurtl’œil de l’union
qui file en coton
les gaz nauséabondsl’œil de nos mots
qui est le berceau
des moches et des plus beauxl’œil sans race
qui va sans trace
comme un essuie-glacel’œil avec faim
qui fait le malin
au milieu d’un festinl’œil d’un regard
qui prend au hasard
le train entre deux garesl’œil du milieu
qui joue au mafieux
et force les adieuxl’œil de l’ange
qui nous démange
de sa force étrangel’œil de partout
qui se glisse en nous
pour aller jusqu’au bout
qui partage tout
le calme et les remousl’œil de tes yeux
qui vit de nous deux
heureux ou malheureuxl’œil de l’amour
qui crie au secours
les tempêtes d’un jourl’œil du clone
qui nous étonne
de notre personnel’œil de mon œil
qui ne craint l’écueil
de quelque mise en deuill’œil aux abois
qui court hors la loi
la nuit dans les sous-boisl’œil de la vie
qui pleure et qui rit
les cils en nostalgiel’œil du présent
qui marche élégant
sur les rails du néantl’œil de l’horreur
qui ceint la douleur
d’un peuple qui se meurtl’œil de l’union
qui file en coton
les gaz nauséabondsl’œil de nos mots
qui est le berceau
des moches et des plus beauxl’œil sans race
qui va sans trace
comme un essuie-glacel’œil avec faim
qui fait le malin
au milieu d’un festinl’œil d’un regard
qui prend au hasard
le train entre deux garesl’œil du milieu
qui joue au mafieux
et force les adieuxl’œil de l’ange
qui nous démange
de sa force étrangel’œil de partout
qui se glisse en nous
pour aller jusqu’au bout
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