et si nous dansions passagères des lumières
sur la piste du salon où résonnent les éclairs
avant que la nuit bruissante et complice
ne nous perde au ralenti dans les détails d’une esquisse
et si nous dansions corps abrités de l’éphémère
dans la chaleur de la maison où brûlent toutes les chimères
avant que la nuit ne se meure en délices
sous les étincelles de notre propre artifice
sur la piste du salon où résonnent les éclairs
avant que la nuit bruissante et complice
ne nous perde au ralenti dans les détails d’une esquisse
et si nous dansions corps abrités de l’éphémère
dans la chaleur de la maison où brûlent toutes les chimères
avant que la nuit ne se meure en délices
sous les étincelles de notre propre artifice
Désolée pour tous ces changements d'aspect du blog...comme disait ma grand-mère "le mieux est l'ennemi du bien"...et elle avait bien raison !!!
RépondreSupprimerSi de jardins en voyages oulipiens je suis avec toi,
RépondreSupprimerde tableaux en d'autres jardins tu m'accompagnes.
(Des baisers en ressentir les mots, des caresses en resplendirent le flot)
Les hippocampes sont oulipiennes
Supprimerqui se comprennent
dans les jardins de Berne
où soufflent les mots de deux reines…
J'adore ton inspiration du moment à la fois si pudique et si chaude. Je t'embrasse, Princesse.
RépondreSupprimerC’était une rétrospective chère Ariaga, de celles que l’été permet de choisir. Ma réponse doit te sembler absconse, il me faudrait tenir salon à bord de l’Evasion, pour lever le voile de ce mystère !
Supprimer