Pour que brillent les étoiles, il suffit d’enlacer
les fils d’or de nos pensées et pour que Youmé la bergère des coeurs devienne
la reine du ciel il suffit de la merveille de nous aimer…
Les gouttes de pluie sur la vitre déroulent des
hippocampes à l’infini, je connais seulement maintenant ce qu’est l’intensité
de la poésie, avant ce n’était rien, je ne savais pas ce courant qui me traversait
pour passer cette autre frontière, je ne savais pas…
Certain-e-s poète-sse-s les nommèrent plus tard les douanier-e-s célestes (en vrai, c'étaient et se sont plutôt des passeurs et des passeuses). Qui sont-illes ? Ce sont ceuses qui un jour s'approchèrent et demandèrent : "belle hippocampe, as-tu quelque chose à déclarer?" C'est en réponse à cette question que vinrent les mots, une pluie de mots. Ainsi naquit la poésie (m'enfin, je ne suis plus très sûre de la version originelle ;)). Depuis ce jour, elle s'installa parmi les hommes et les femmes, qui s'en emparèrent avec fureur ou délicatesse. Un jour, quelques femmes parmi les femmes s'inquiétèrent : la Terre (qui ne l'oublions pas était plate) menaçait de basculer pour cause de dangereux déséquilibre. En effet, tous les mots étaient rangés du même côté (dans les tiroirs des messieurs) ! L'une d'entre elles se dit alors : "Sa pho que ça change". Ainsi commencèrent timidement à se déployer des mots de femmes, et ce qui jusqu'à ce jour permet à certaines de tisser ce lien, de femme à femme. Ce n'est pas tout à fait ainsi que l'Histoire se déroula, mais c'est bien ainsi que jusqu'à nos jours c'est également par cette voie-là que peuvent se faire entendre d'autres voix
Que j'aime ce chemin sur lequel j'ai tant à déclarer ! D'ailleurs je me permets de préciser à nos chers lecteurs, ce que tu sais tout comme moi, que c'est à cette époque que fut inventé les blocs bureaux à tiroirs montés sur roulettes, que la Terre est devenue ronde pour retrouver son équilibre...et que depuis ce temps Sa pho le détour de suivre le fil de ses émotions, puisque l'on ne se perd plus entre nuit et brouillard. Et puis il y a aussi l'histoire de la pluie qui gonfle le coeur des hippocampes...le choeur des hippo-songes, quand s'unissent leurs voix pour que la pâleur de Youmé se transforme en lueur brillante d'une amoureuse destinée. Alors je sais que de deux déesses peut naître ce que l'Histoire n'a pas encore écrit
Kundalini...pourquoi pas ! mais alors sans la qualité de maître, de négociateur, d'intermédiaire...Pardon Amista peut-être que je te semble brutale, mais ce n'est pas mon intention, mon intention est juste de te dire que tu es des hippocampes aussi. Merci à toi
toujours très beau tes mots Aslé
RépondreSupprimerAmicale pensée
Merci Plume Bleue de t'être arrêtée ici...
SupprimerCertain-e-s poète-sse-s les nommèrent plus tard les douanier-e-s célestes (en vrai, c'étaient et se sont plutôt des passeurs et des passeuses). Qui sont-illes ? Ce sont ceuses qui un jour s'approchèrent et demandèrent : "belle hippocampe, as-tu quelque chose à déclarer?" C'est en réponse à cette question que vinrent les mots, une pluie de mots. Ainsi naquit la poésie (m'enfin, je ne suis plus très sûre de la version originelle ;)).
RépondreSupprimerDepuis ce jour, elle s'installa parmi les hommes et les femmes, qui s'en emparèrent avec fureur ou délicatesse. Un jour, quelques femmes parmi les femmes s'inquiétèrent : la Terre (qui ne l'oublions pas était plate) menaçait de basculer pour cause de dangereux déséquilibre. En effet, tous les mots étaient rangés du même côté (dans les tiroirs des messieurs) ! L'une d'entre elles se dit alors : "Sa pho que ça change". Ainsi commencèrent timidement à se déployer des mots de femmes, et ce qui jusqu'à ce jour permet à certaines de tisser ce lien, de femme à femme.
Ce n'est pas tout à fait ainsi que l'Histoire se déroula, mais c'est bien ainsi que jusqu'à nos jours c'est également par cette voie-là que peuvent se faire entendre d'autres voix
Que j'aime ce chemin sur lequel j'ai tant à déclarer !
SupprimerD'ailleurs je me permets de préciser à nos chers lecteurs, ce que tu sais tout comme moi, que c'est à cette époque que fut inventé les blocs bureaux à tiroirs montés sur roulettes, que la Terre est devenue ronde pour retrouver son équilibre...et que depuis ce temps Sa pho le détour de suivre le fil de ses émotions, puisque l'on ne se perd plus entre nuit et brouillard.
Et puis il y a aussi l'histoire de la pluie qui gonfle le coeur des hippocampes...le choeur des hippo-songes, quand s'unissent leurs voix pour que la pâleur de Youmé se transforme en lueur brillante d'une amoureuse destinée.
Alors je sais que de deux déesses peut naître ce que l'Histoire n'a pas encore écrit
C'est l'éveil de la kundalini en quelque sorte.. bon voyage bises aux hippocampes et merci
RépondreSupprimerKundalini...pourquoi pas ! mais alors sans la qualité de maître, de négociateur, d'intermédiaire...Pardon Amista peut-être que je te semble brutale, mais ce n'est pas mon intention, mon intention est juste de te dire que tu es des hippocampes aussi. Merci à toi
Supprimerjuste a chaque mesure oui :)
RépondreSupprimerTu sais que je n'ai pas beaucoup de temps en ce moment, mais je n'oublie pas ma Princesse.
RépondreSupprimerJe t'embrasse ma Belle Dame Fidèle de la Rochelle.
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