lundi 22 avril 2013

Cent mille kamasses et une femme

J’ai envie d’écrire une histoire, en fait j’en ai besoin, alors voilà…je vais vous raconter quelqu’une que je ne connais pas, je vais vous dire ces grands espaces d’ombre entre les lumières de sa vie qui m’éclairent aujourd’hui et le tout commencement de ses premiers pas sur la terre.
Elle avait d’immenses yeux avec des milliers de pixels lumineux et rieurs. Elle était une enfant au bord de la montagne qui chaque dimanche dirigeait le bal des cygnes sur l’étang, les bras tendus, les mains ouvertes. Je vous la décris avec mes mots toujours les mêmes, mais là vraiment ça me semble beau, ça m’est si belle cette image, que cela m’enchante de ne rien dire d’autre que mon regard qui se pose sur l’enfance de cette personne.
Bien sûr il y avait ses cheveux, mais l’hiver elle avait un bonnet sur la tête, et l’été un foulard déguisé en casquette, car vous l’aurez deviné, à cette époque le printemps et l’automne n’existaient seulement que pour les grandes personnes.
Un jour, puisqu’il faut bien un jour pour commencer une histoire, une mèche de ses cheveux au vent vint balayer la plage de son adolescence, elle devint alors une couleur chaude et profonde, un rayon ardant à destination de l’amour et de ses équinoxes consentants.
C’est une drôle d’histoire commencée il y a plusieurs jours, une histoire sans fin et sans début que je ne pouvais pas publier (quel grand mot quand même) mais en la relisant aujourd’hui se posent les couleurs que je n’avais pas, alors je suis heureuse de délivrer ces mots, ils ont au moins un sens pour moi et toi tu les comprendras…
…et ce qui suit n’a rien à voir, mais vraiment rien à voir, enfin si quand même, même beaucoup. Je souris, je te souris
 

 
 

4 commentaires:

  1. Je souris aussi :) (et ces mots sont beaux, et je t'embrasse fort,juste aux couleurs de toi)

    RépondreSupprimer
  2. J'attends ton histoire avec impatience. J'ai voulu te le dire avant mais il y avait des problèmes et je n'ai pas pu poster de commentaire. Je t'embrasse Princesse.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je suis une Princesse assez paresseuse...Sourire à toi Ariaga. Je t'embrasse.

      Supprimer

Laisser quelques mots ?