Au commencement je ne les
voyais pas, elles n’avaient aucune apparence physique, elles étaient deux
âmes
nuageuses sorties de mon esprit et qui s’étiraient à l’infini.
Je leur ai d’abord inventé
un nom, un nom qui n’existait nulle part ailleurs que dans ma tête, leur créant
une identité de voyelles, d’un pays de soleil levant. Cela se précisait mais
c’était encore assez flou. Alors j’ai plissé les mots comme on plisse les yeux
et j’ai vu la ville d’Amakashiskoia se dessiner sous les signes noirs qui
grouillaient sur la feuille. Puis en m’approchant, en frottant un peu l’encre,
j’ai su le destin lié d’Inshitayatoo et d’Alaomista.
Bientôt tu vas rêver à elles et elles vont devenir vivantes sur un autre plan de conscience. je t'embrasse.
RépondreSupprimerRêver à elles, ce doit être ça cet autre plan de conscience auquel tu penses, plutôt que rêver d’elles. Je commence à comprendre autre chose, à saisir, je ne sais pas comment dire, un autre souffle. Merci Belle Ariaga.
SupprimerJe t’embrasse.
C'est une histoire universelle aux couleurs d'amitié et de sororité, oui, merci de plisser les yeux pour nous, merci de rêver, je t'embrasse.
RépondreSupprimerMerci pour tes mots, alors oui je vais continuer de plisser les yeux parce que je trouve ça merveilleux de partager avec vous, avec toi cette histoire…il y a d’Alaomista en toi.
SupprimerJe t’embrasse.
Merci belle et douce, ça raisonne en moi aussi à pousser les murs...Alors je tente le plissage d'yeux pour voir..plus clair, faire la mise au point... Je t'embrasse aussi.
SupprimerJe commence à être en manque de Princesse.Je t'embrasse.
RépondreSupprimerLà, je vois une rivière d'or couler aux chevilles de ces deux nymphes... tellement beau...
RépondreSupprimerA moi aussi, Aslé, tu me manques, bises.