Je
vous écris depuis la moyenne plage, celle où rien ne me glace, où rien ne
m’espace, où je suis portée à l’abandon des vagues comme une périscopale
amnésie.
Je
nage sans la vision de mes yeux, sans aucun
muscle, mes nerfs s’assourdissent sous la glisse tendre et mirobolante
de mes mots resurgis.
Je
vis.
C’est
une belle plage, entre la petite et la grande, entre deux riens, c’est un
instant, une pause, une idée éclose, un bonheur tout juste, tout juste un
bonheur qui m’affole un peu.
Mais
je suis si bien avec lui.
En ces temps agités, je pense à toi. Paix amour et harmonie, là ou tu te trouves. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerL'aurais tu trouvé, là où il toujours été, au plus près de toi ?
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