mardi 22 juillet 2008

rêve d'amérique

je souris
la poésie n’est pas partie
elle joue à cache-cache
entre les pétales d’une rose
elle se glisse ailes de l’émotion
pour se faire musicienne
grande prêtresse muette des mots

quelle musique
le coton des nuages
quel doux périple à te suivre
le long de tous ces chants
la poussière des fleurs
les rires du bleu du ciel
le tien si loin que j’entends

j’ai de l’amour
du soleil sur la peau
et un si bel accent texan
que je me tatoue ton sourire
ma belle toi
en totem de buildings

depuis mon jardin des rêves
où je t’abrite
un baiser sur les lèvres de ta vie
je souris
Houston n’est qu’une city
mais si tu y es alors moi aussi

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