C’était le matin, un lundi matin de tous les jours
de la semaine, un jour d’automne pas encore né de la dernière nuit et de sa
belle mort instantanée, un jour à grandir où je pouvais décrire les ombres qui
m’entouraient comme étant vierges de toute couleur affligée, désespérée et
désespérante, de la pâleur et de la morosité qu’engendrent l’ennui de n’avoir
rien à inventer.
Je pensais à toi, à l’aube d’un nouveau jour au lac
si proche et si lointain, à toi que je ne pouvais saisir ni dans mes mots, ni
dans mes bras, et surtout pas dans mes mots puisqu’ils me faisaient tant défaut
pour t’approcher aux premières lueurs de notre amour.

...de pourtant te faire voir comment la confiance peut nous donner raison (bon, ce n'est pas un mot... mais c'est vrai ;))
RépondreSupprimer;)
Supprimerils sont beaux tes mots Aslé.
RépondreSupprimerMerci
SupprimerJe suis toujours aussi touchée par la sensibilité de ton écriture ma Princesse.
RépondreSupprimeret l'amour est éternel dans cette vie qui n'en finit pas...
RépondreSupprimerbonne soirée
arielle
Merci pour votre passage parmi mes mots
SupprimerA l'avance, tant que j'ai encore une connexion, tous mes voeux pour le meilleur et une affectueuse bise.
RépondreSupprimerTu sais je viens d'apprendre qu'en fait le 21 décembre correspond au 1er avril du calendrier maya...Alors moi aussi je te souhaite maintenant tout ce qui peux donner à ta vie, à ton âme, à ton coeur, à ton corps, le sourire, la joie, le partage...d'être là.
SupprimerJe t'embrasse FORT