Ca me fait penser à ce « Mourir pour vivre un
peu » que j’avais écrit sur le tableau vert avant je ne sais plus quel
cours de mon premier lycée. C’étaient les seuls murs pour moi. J’avais aussi écrit dans l’intérieur de mes
classeurs « Qu’importe le flacon pourvu qu’on est l’ivresse ».
J’avais beaucoup écrit sur mes trousses, sur mes jeans, sur la buée des vitres,
un peu partout, sur des copies aussi…
« …qu’on est l’ivresse » C’est l’orthographe
instantanée qui me revient, celle de mes quinze ans, celle du temps d’Isabelle.
passer de l'ivresse des maux à l'ivresse des mots ?(bien qu'ils ne soient encore, parfois, pas toujours faciles à exprimer ;))
RépondreSupprimerQu'importe l'ivresse pourvu qu'on puisse la dire. (je souris, je m'aslénormative...)
SupprimerUne pensée pour toi Princesse.
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