le plafond
résonnait plus bas que les roses
dans l’atelier des
mots
les machines à fil
piquaient l’étoffe
qui soufflait tout
le contraire
le silence régnait
d’un automne en plein été
l’astragale qui
était morte depuis si longtemps
s’allongeait dans
le rouge clair
tout droit tombé d’un
ciel d’avril
un lit à baldaquin
aux lignes barbelées
lui aussi naviguait
entre une mer dépolie
et les rires
hâbleurs des enfants qui ont peur
à l’intérieur de
moi il n’y avait aucune poésie
mon œil entier se
couvrait de peluches de Chine
roses et blanches
comme un dimanche d’hello quiti
le port autonome
était vide
vraiment
à croire que la vie
n’était qu’un carnaval
C'est amusant un carnaval. Je t'embrasse Princesse.
RépondreSupprimerDunkerque sans carnaval c'est terrrrrrrriblement angoissant.
RépondreSupprimerJe t'embrasse