Ce matin dans le ciel, une double circulation de nuages
sur deux étages, les plus hauts avançaient paisiblement, alors que ceux en
dessous se déplaçaient à une vitesse folle.
C’est le vent, un drôle de vent, un courant d’air qui m’a
fait lever les yeux au ciel.
J’aurais pu prendre des photos, mais dans mon coin de
mur, j’ai allumé la cigarette de la condamnée à devoir s’en passer, j’ai eu
chaud, j’ai eu froid, avec dans la bouche un futur proche café, avec dans les
yeux ces mots qui ont su dépasser toutes ces heures et qui ce soir arrivent
tous drôles, un peu effilochés, à recoudre usés d’une journée, mais ils sont là…
J'ai l'impression que la petite vie de ma Princesse n'est pas simple. J'aimerais bien des nouvelles (mail?) je t'embrasse.
RépondreSupprimerCe n'est rien, les Princesses se font des montagnes avec trois fois rien, mais je te mailerai Ariaga. Je t'embrasse.
Supprimeréteins ta cigarette puis va courir après les nuages et tous qu'ils cachent ;)
RépondreSupprimerOui, je vais faire tout ça toubib ;)
SupprimerJ'avais aussi envie de le dire, les rêves dorés baignés de soleil, où les grues et les hippocampes se cotoient pour de grandes fêtes pleines de fous rires et de folles danses ne sont pas loin ...
SupprimerJe t'embrasse, à la prochaine (fête?)
Amista
Les grues sont toutes rouillées, la plage va être détruite, sous les rochers quelques hippocampes attendent transies LA VAGUE aux
Supprimer…coordonnées GPS
Je t’embrasse, à dans dix ans au moins ;)