Elle
s’appelait Véra. Sa mère lui avait écrit un conte russe posthume rien que pour
elle.
EXTRAITS « …Si tu es un jour en Auto-Protect Non
corrigé, ça ne t’empêchera pas d’écrire, même quand l’anti-virus t’aura
supprimée du programme, l’important sera de te souvenir d’au
moins d’un code d’accès… »
«… Un jour tu sauras ma fille que les
lions ne font pas des lionnes mais qu’il suffira d’un seul chaton pour te
griffer la main et te rendre autochtone… »
« … Véra,
je viens de te conter l’histoire de tes trois grand-mères, la vraie, la fausse,
et l’aventurière, ce sont tes trois grand-mères, l’une d’elle n’est pas de
sang, l’une d’elle n’est pas d’amour, l’une d’elle n’est pas aventurière, mais
l’une d’elle t’a offert des madames gigognes… »
« …Véra tu seras ma fille… »
Deux, jaune.Et si on te suit, c'est le chemin du ciel ?
RépondreSupprimerSix, sept/huit...et voilà !
RépondreSupprimerje t'embrasse
Après plusieurs lectures maintenant, qui me parlent mystérieusement, je souhaite te partager que je trouve beaucoup de beauté dans ces écrits, je te remercie, et je t'embrasse
RépondreSupprimerChère Amista,
SupprimerJe pourrais rougir mais je suis déjà toute rouge de l'hiver, merci pour ce que tu dis, je n'écris pas dans mon silence !
Chère Aslé,
RépondreSupprimerJe m'engage à respecter ton silence, par là même, je vais me respecter également, en prenant le virage glissant en douceur, et en écoutant mon coeur, ce que j'ai toujours fait en ton lieu. Et là, il me dit TAILLOOOOOOO !
Là, je ne le fais pas en silence, désolée, belle suite à toi.
Tes écrits du moment m'intriguent, ce qui est une qualité la curiosité étant un grand moteur. Je t'embrasse Princesse.
RépondreSupprimerJe t'embrasse fidèle Ariaga.
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