Elle
s’appelait Véra. Sa mère lui avait écrit un conte russe posthume rien que pour
elle.
EXTRAITS « …Si tu es un jour en Auto-Protect Non
corrigé, ça ne t’empêchera pas d’écrire, même quand l’anti-virus t’aura
supprimée du programme, l’important sera de te souvenir
d’au moins d’un code d’accès… »
«… Un jour tu sauras ma fille que les
lions ne font pas des lionnes mais qu’il suffira d’un seul chaton pour te
griffer la main et te rendre autochtone… »
« … Véra,
je viens de te conter l’histoire de tes trois grand-mères, la vraie, la fausse,
et l’aventurière, ce sont tes trois grand-mères, l’une d’elles n’est pas de
sang, l’une d’elles n’est pas d’amour, l’une d’elles n’est pas aventurière, mais
l’une d’elles t’a offert des mesdames gigognes… »
« …Véra tu seras ma fille… »
Très réussie ta petit série des impromptus. Tu révèles ta véritable nature d'écrivain.
RépondreSupprimerMerci Ariaga !
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