Le
vent souffle fort, pas trop fort, et puis il se remet en boucle si chaude,
qu’il n’apporte aucune fraîcheur, il ne sèche rien dans son va et vient. Je
suis là à compter les secondes, espérant une erreur dans son
tournicoutidevamor….Rien. Même le traitement de texte ne m’entend pas. Sécher, j’ai trouvé le verbe, je veux ça être
séchée comme un hareng de Norvège où le pôle nord n’arrivera plus à la lagune, pour enfin nager…..nager.
Nager dans des glaçons….Des glaçons emprisonnant des milliers de sirènes qui
n’attendent qu’une chose ! hurler contre le vent………………Je me sens mieux,
c’est fou les mots, j’y suis, avec Arny on a fait glisser la barque sur
l’étang, je suis là, les yeux au ciel, je souris (c’est sur la photo…si Arny a
mis des piles), plus un gramme de vent, il fait frais, presque froid, mais
j’adore…
Des pensées pour toi.
RépondreSupprimerMerci belle Ariaga.
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