dimanche 5 octobre 2008

Comme de la Polynésie dans les yeux




mes bras serrent l’ombre de ton corps contre moi
sous mes lèvres court le parfum invisible de ta peau
et ton coeur qui bat se fait l’écho du mien
des danseuses nues tombent du ciel enlacées
le long de rubans rouges tournant de mille bras
je prends du rêve dans les frissons de tes mots
le silence dans ce qu’il a de plus beau
la chaleur de tes émotions pour m’endormir

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