mardi 21 août 2007

à toi


Le jour où je serai libre de m’appartenir
Le jour où je n’aurai plus aucun désir
Le jour où je cesserai de tout t’écrire
Ce jour-là mon amour il faudra venir
A la porte de mon cœur doucement frémir
Les moments tendres de nos souvenirs

Le jour où je serai loin de mon corps
Le jour où je n’aurai plus peur de la mort
Le jour où je cesserai de me battre encore
Ce jour-là mon amour il faudra que tu rêves fort
Contre les battements d’un cœur en or
Niché au fin fond de la malle aux trésors

Le jour où je serai ivre de souffrances
Le jour où je n’aurai plus que la délivrance
Le jour où je cesserai toutes les prudences
Ce jour-là mon amour il faudra que tu danses
Aux yeux de mon âme toute ton existence
Le pied léger sans aucune importance

Le jour viendra où encore ici tu me liras
Comme tout à l’heure tu le feras
Comme tout à l’heure tu me diras
Ce jour est loin n’y pensons pas
Tous ces jours encore dans nos bras
Je voulais que tu saches toutes ces choses-là

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