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| Francine Simonin |
Elle s’appelle Amour et c’est vers elle que tous mes mots se tournent et s’envolent pour se prendre au filet de son désir. Je ne suis plus le simple papillon aux ailes de l’éphémère, le caméléon globe-trotter qui disparaissait à chaque nouvelle apparition d’un arc-en-ciel. Je suis celle liée à elle.
Elle est cet arbre aux feuilles émouvantes de mon paysage, sur lequel l’hippocampe sage que je suis aime se fondre à son feuillage.
Elle est celle à qui j’aime écrire.
Elle est toi tout simplement.
Quoi de plus beau que l'amour, sous quelle que forme que ce soit. Je ne t'oublie pas Princesse.
RépondreSupprimerMerci d'êtra là mon Ariaga.
SupprimerQue pense l'arbre, vivant 3000 ans de nous voir nous agiter en si peu de temps. Nous devons lui être incompréhensible, sauf le jour où il nous voit arriver avec une hache...
RépondreSupprimerOn peut le faire trembler autrement Jeanmi...!
SupprimerSi les hippocampes se mettent a jouer aussi bien de leur encre que vont devenir les poulpes ?
RépondreSupprimerenfin l'important dans tout ça c'est l'Amour et le Sourire !
amicalement
Je ne sais pas Virginie, je n'ai pas l'intelligence d'un poulpe !
RépondreSupprimerà tracer ce chemin qui fait lien,
RépondreSupprimerrien ne m'éloigne de toi,
pas même les silences,
que sont-ils
sinon le murmure continu
de tes mots dans ce feuillage
comme tu es belle
Supprimercomme le vent
qui de son silence m’ensorcelle
pour me prendre
entre les feuilles de ta présence