A ces poètes, soupirants du Sommeil
A l’heure où me levant sans soleil
Croyant encore en leurs mots surgis du passé de la nuit
A leurs Douleurs d’entre les fièvres artificielles
Les liant aux siècles des peurs universelles
A eux et à toutes celles
Et à toi surtout ma douceur chérie
J’aimerais dire
Que ce sont tes bras la seule merveille
Tes lèvres, l’unique source aux monts vermeils
Que la vie est le ballet bleu des hirondelles dans tes yeux
Et que le bonheur est la caresse jouvencelle qui lève le jour au ciel de nous deux…
(J'aime lorsque tu dis ;) Je t'embrasse, belle hippocampe)
RépondreSupprimer(j'aime dire lorsqu'on m'entend)
RépondreSupprimeralors ne mettons pas les mots entre parenthèses ;)
RépondreSupprimerEnvolons les parenthèses ((((((((((((((((
RépondreSupprimerha !!! beaucoup d'amour dans ce blog ....
RépondreSupprimercela fait plaisir à lire !
:)
Tu es toujours là Virginie, et je suis contente de te retrouver toute souriante !
SupprimerC'est bien de te lire
RépondreSupprimerC'est parce que je me sens bien...
RépondreSupprimerBises ma grande and take care !