mardi 10 juillet 2012

A l'encre de nous deux

A ces poètes, soupirants du Sommeil
A l’heure où me levant sans soleil
Croyant encore en leurs mots surgis du passé de la nuit
A leurs Douleurs d’entre les fièvres artificielles
Les liant aux siècles des peurs universelles
A eux et à toutes celles
Et à toi surtout ma douceur chérie
J’aimerais dire
Que ce sont tes bras la seule merveille
Tes lèvres, l’unique source aux monts vermeils
Que la vie est le ballet bleu des hirondelles dans tes yeux
Et que le bonheur est la caresse jouvencelle qui lève le jour au ciel de nous deux…

8 commentaires:

  1. (J'aime lorsque tu dis ;) Je t'embrasse, belle hippocampe)

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  2. (j'aime dire lorsqu'on m'entend)

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  3. alors ne mettons pas les mots entre parenthèses ;)

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  4. Envolons les parenthèses ((((((((((((((((

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  5. ha !!! beaucoup d'amour dans ce blog ....
    cela fait plaisir à lire !

    :)

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    1. Tu es toujours là Virginie, et je suis contente de te retrouver toute souriante !

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  6. C'est parce que je me sens bien...
    Bises ma grande and take care !

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