jeudi 26 juillet 2007

D’Amour Et D’Hirondelle


La femme sans âge
absente de la vie
sans ride sans souci
nue d’étreinte
de contrainte
insignifiante
La femme absente
pas d’attache
ni relâche
rire de mort
sans accord



Dans la glace qui déteint
son visage est le sien
les yeux en chagrin
le sourire de demain

C’est moi dans tous mes états
le soleil en ouvrant les bras
le satellite calciné de la mir
la touche-à-tout du plaisir
la sonde de mille ennuis
la confusion de tous les gris

C’est l’effroi de me perdre encore
en balbutiements d’île au trésor
la carte de l’estime sur moi ouverte
les phases d’amour entrouvertes
le courage du plus beau des aveux
le murmure de mes mots sous vos yeux

Le si peu de moi avant de vous connaître

Mon Être

modulé d’espoir et d’incertain

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