lundi 31 juillet 2006

Six heures dans le ciel bleu


La nuit débordante de sommeil
Les heures fixes qui m’éveillent
Et c’est l’attente jusqu’au soleil
Aux premières lueurs vermeilles.

Au chant lointain du petit matin
Voilà aujourd’hui qui est demain
Pouvoir me lever dans le jour enfin
Et m’embarquer passager du train.

Défileront les paysages
Et les personnes de passage
J’irai voir de nouveaux visages
Le tien qui n’est pas un mirage.

Je t’offrirai mon plus beau sourire
Celui pour toi qui veut tout dire
Je ne penserai plus à écrire
Car je n’aurai que toi à lire.

Je t’attendais et c’est moi qui viens
A l’appel de tes mots et des miens
Qui nous ont fait du mal et du bien
Mais on n’a pas le tout sans le rien.

Quelque soit le toit sur nos têtes
Le ciel bleu sera notre fête
D’être à deux que rien n’arrête
Pas même les avis de tempête.

La nuit enivrante de sommeil
Des heures ensemble passées au soleil
Se sentir proche jusqu’au réveil
Et nous dire toutes nos merveilles.

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